• Les administrateurs de l'association "Corsicapolar- Ancre latine", organisatrice des festivals du polar corse et méditerranéen, informent le public que le blog personnel " Corsicapolar.eu" n'a aucun lien juridique avec cette association et que les publications de M. Ugo Pandolfi-Crozier ne les engagent ni eux ni l'association

     

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    Jean-Paul Ceccaldi

     

    Né à Ajaccio (Corse du sud), ses parents sont originaires d’Evisa et de Partinellu. En 1974, il est entré, comme inspecteur à la Police judiciaire de Paris. Ensuite, à Marseille,  il s’est occupé de proxénétisme et d’affaires financières. Après un long passage au SRPJ de la cité phocéenne, il a terminé sa carrière comme Commandant à l'IGPN, la police des polices. Il a imaginé le personnage du Flicorse, en écrivant des polars à la manière de vraies enquêtes judiciaires : «  La plume de Maât », « Tamo !Samo ! » et « Complices obscurs »Depuis 2010, trois nouvelles publications inédites: Œuf corse ! (Editions Ancre latine),  « Kebab story » (Editions Melis), coécrit avec Ida Der-Haroutunian et- Je pars pour Venise…etc. (Editions Ancre latine.Il a écrit en 2013 un quatrième récit mettant en scène le commissaire Mathieu Difrade (le Flicorse) et intitulé « L’heure des vêpres à Sorbello ». Il a publié la trilogie précédente en un seul volume.  A l’occasion du Huitième festival, était sortie la cinquième saison du Flicorse : « La rose est sans pourquoi » (publié aussi en version epub aux Editions Nouvelles Lectures). Par ailleurs, il a participé au recueil collectif « Le train de la Corse », publié à l’occasion de cette édition en partenariat avec les Chemins de fer de la Corse. A l’occasion du Neucième festival du polar, il avait publié son opus « La bande du Libecciu ». Pour la dixième édition, Ce fut un nouveau polar "Mortelle solitude"  ( Editions Ancre latine"  et deux nouvelles dans la série "Trinichellu" initiée par Olivier Collard  (éditions du Cursinu). Cette année, il publie une troisième nouvelle dans la série Trinichellu et trois nouvelles dans un autre recueil collectif à paraître à l'occasion du 11ème festival.. 

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    Olivier Collard

    Amoureux de la nature, Olivier Collard découvre la Corse l’année de ses 18 ans (c’est aussi celle de Tchernobyl) avec quelques amis, une gourde, des pataugasses et la femme de sa vie. Une passion commune pour cette île les conduira à prendre un nouveau départ, par amour pour la Corse.  La vie dans un village de Casinca l’inspire, c’est le déclic. Il y restera cinq ans, le temps d’écrire ses cinq premiers romans. Olivier Collard vit désormais à Bastia. À ce jour, il a publié une quinzaine d’ouvrages, essentiellement dans les registres du roman noir et policier. La Trilogie Capcorsine marque un tournant dans son écriture, plus noire, plus farouche et sans doute plus troublante.  Son dernier roman, « Sulleone », est d’ailleurs classé « roman noir » par des chroniqueurs reconnus, même s’il se situe sans doute à la frontière des deux genres. En 2016 il fonde la collection « Trinnichellu », un projet collectif de « Poulpe à la mode Corse », auquel il participe en tant que coauteur, avec Christian Maïni, Jean-Paul Ceccaldi et quelques autres. Tous ses ouvrages sont publiés chez « U Cursinu Éditeur », une maison d’édition associative basée à Bastia

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    Jean-Pierre Orsi

     

    Après des  études supérieures à Nice et à la Sorbonne, il exerce le  journalisme dans un quotidien de la Côte d’Azur. Il effectue ensuite un séjour de deux ans dans les pays de l’Europe de l’Est en particulier à Budapest où il s’occupait du service information d’une organisation internationale de jeunesse. De retour en France en 1969,  il travaille au service informatique  de Citroën avant d’entrer au groupe pharmaceutique Synthelabo, ce qui  lui fournira l’occasion d’écrire un livre polémique : la Mafia du médicament. Il a passé ensuite 25 ans de sa vie professionnelle au  sein des Mutuelles de Provence,  à Marseille, tout en exerçant des activités militantes et syndicales. Il vit maintenant en Corse. Après plusieurs polars mettant en scène le commissaire Bati Agostini, il a inventé un nouveau personnage Don Giovanni, prêtre-ouvrier. Ses romans à succès ont été réédités, dont, son premier à succès, « La chèvre de Coti-Chiavari », mais aussi les suivants. Comme le commissaire Bati Agostini devenu un personnage récurrent, Don Giovanni revient alors que son passé le rattrape. « Don Giovanni, retour vers le passé » est édité chez Ancre latine.

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  • Jean-Pierre Petit

    Il est né à Avignon. Après des études de langue et de littérature espagnoles à l’université de Montpellier, il a enseigné l’espagnol  une paire d’années puis bifurqué vers des activités commerciales avant de revenir à l’enseignement. A partir de 1990, il est journaliste de la presse quotidienne régionale, localier d’abord puis secrétaire de rédaction. Pour échapper aux rigueurs et aux pesanteurs de l'information quotidienne, il écrit des fictions (nouvelles, contes, récits) qui ne sont pas toujours dénuées de connivence avec l'actualité. Il a publié son premier polar, " Serial Couleurs ", en 2005 aux éditions La Cardère. En 2006, il a participé à l’ouvrage "Mémoires du quotidien " publié par le club de la presse Marseille Paca et, en mars 2007, au recueil collectif de nouvelles noires, " Noirs venins ", éditions Reflets Noirs. Il traduit des articles d’auteurs espagnols sur le site Europolar. Aux éditions Ancre Latine dans la collection « Ile noire », est paru son roman « Imbroglio sur le route de Maguelone ». Il écrit de la poésie mais, pour le festival, il a mijoté trois nouvelles dans un receuil collectif à paraître en juillet.

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