• L'affiche du 11ème festival

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  • Corsicapolar - Editions Ancre latine vous invite à la 11ème édition du Festival du polar corse et méditerranéen.  Cette année le festival revient sur la place Foch à Ajaccio, après avoir été accueilli par le CCAS/EDF au village de vacances Marinca, à Porticcio, mais aussi d’autres dates estivales prévues

    Le Mercredi 26 juillet 2017:

    Embarquement des auteur(e)s sur le car ferry éLe Girolata » de la compagnie La Méridionale.

    Le jeudi  27 juillet 2017 :

    Journée de rencontres et de dédicaces au centre de vacances de la CCAS/EDF à Porticcio, Porte ouverte toute la journée et animations en soirée.

    Le vendredi 28  juillet : 

    - 16 heures, Ouverture et installation des auteur(e)s sur la place Foch, à l’ombre des palmiers. Ils vous accueilleront jusque tard dans la soirée, alors que tous les commerces de la ville seront ouverts pour la soirée commerciale traditionnelle et les rues animées par des groupes musicaux.

    Une seconde partie se déroulera à la mi-août...

     Les 11,12 et 13 août les journées du Pénitencier de Coti-Chiavari, suivies le 14 août d'une soirée avec la librairie "La plume d'or" à Porticcio.

     Le 17 août , entrée libre au village de vacances de Marinca (CCAS/EDF) pour des rencontres, animations et dédicaces.

     Le  18 août, clôture du festival sur la place Foch d'Ajaccio avec nocturne commerciale.

     

     

     

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  • Les administrateurs de l'association "Corsicapolar- Ancre latine", organisatrice des festivals du polar corse et méditerranéen, informent le public que le blog personnel " Corsicapolar.eu" n'a aucun lien juridique avec cette association et que les publications de M. Ugo Pandolfi-Crozier ne les engagent ni eux ni l'association

     

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    Jean-Paul Ceccaldi

     

    Né à Ajaccio (Corse du sud), ses parents sont originaires d’Evisa et de Partinellu. En 1974, il est entré, comme inspecteur à la Police judiciaire de Paris. Ensuite, à Marseille,  il s’est occupé de proxénétisme et d’affaires financières. Après un long passage au SRPJ de la cité phocéenne, il a terminé sa carrière comme Commandant à l'IGPN, la police des polices. Il a imaginé le personnage du Flicorse, en écrivant des polars à la manière de vraies enquêtes judiciaires : «  La plume de Maât », « Tamo !Samo ! » et « Complices obscurs »Depuis 2010, trois nouvelles publications inédites: Œuf corse ! (Editions Ancre latine),  « Kebab story » (Editions Melis), coécrit avec Ida Der-Haroutunian et- Je pars pour Venise…etc. (Editions Ancre latine.Il a écrit en 2013 un quatrième récit mettant en scène le commissaire Mathieu Difrade (le Flicorse) et intitulé « L’heure des vêpres à Sorbello ». Il a publié la trilogie précédente en un seul volume.  A l’occasion du Huitième festival, était sortie la cinquième saison du Flicorse : « La rose est sans pourquoi » (publié aussi en version epub aux Editions Nouvelles Lectures). Par ailleurs, il a participé au recueil collectif « Le train de la Corse », publié à l’occasion de cette édition en partenariat avec les Chemins de fer de la Corse. A l’occasion du Neucième festival du polar, il avait publié son opus « La bande du Libecciu ». Pour la dixième édition, Ce fut un nouveau polar "Mortelle solitude"  ( Editions Ancre latine"  et deux nouvelles dans la série "Trinichellu" initiée par Olivier Collard  (éditions du Cursinu). Cette année, il publie une troisième nouvelle dans la série Trinichellu et trois nouvelles dans un autre recueil collectif à paraître à l'occasion du 11ème festival.. 

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    Olivier Collard

    Amoureux de la nature, Olivier Collard découvre la Corse l’année de ses 18 ans (c’est aussi celle de Tchernobyl) avec quelques amis, une gourde, des pataugasses et la femme de sa vie. Une passion commune pour cette île les conduira à prendre un nouveau départ, par amour pour la Corse.  La vie dans un village de Casinca l’inspire, c’est le déclic. Il y restera cinq ans, le temps d’écrire ses cinq premiers romans. Olivier Collard vit désormais à Bastia. À ce jour, il a publié une quinzaine d’ouvrages, essentiellement dans les registres du roman noir et policier. La Trilogie Capcorsine marque un tournant dans son écriture, plus noire, plus farouche et sans doute plus troublante.  Son dernier roman, « Sulleone », est d’ailleurs classé « roman noir » par des chroniqueurs reconnus, même s’il se situe sans doute à la frontière des deux genres. En 2016 il fonde la collection « Trinnichellu », un projet collectif de « Poulpe à la mode Corse », auquel il participe en tant que coauteur, avec Christian Maïni, Jean-Paul Ceccaldi et quelques autres. Tous ses ouvrages sont publiés chez « U Cursinu Éditeur », une maison d’édition associative basée à Bastia

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